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 Alyse ✞ La danse est une poésie muette
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Alyse K. Grey
Alyse K. Grey

PSEUDO : Clyde
MESSAGES : 23

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MessageSujet: Alyse ✞ La danse est une poésie muette   Alyse ✞ La danse est une poésie muette EmptyLun 6 Mai - 19:05


ALYSE KANA GREY

Ayez du respect pour nous, on chie tous par le même trou





JOUEUR : t'es qui derrière ton ordi ?

CLYDE

ÂGE ϟ Presque 15 ans
SEXE ϟ Femme
ACTIVITÉ ϟ 8/10
REMARQUE ϟ Comme Elena, ça me dérange qu'on ne puisse pas dire bienvenue aux nouveaux. Je trouve que ça manque un peu de chaleur. MAIS SINON LE FO' EST GENIAL HEIN

CARTE D’IDENTITÉ : montre moi tes dents



NOM ϟ Grey
PRÉNOM ϟAlyse Kana
SEXE ϟ Tous les jours
ÂGE ϟ 23 ans
NAISSANCE ϟ 31 octobre
NATIONALITÉ ϟ Galloise
ORIENTATION ϟ Bisexuelle
PROFESSION ϟ Danse-breakeuse ; vendeuse dans un magasin de vêtement
GROUPE ϟ En-Haut


CARACTÈRE


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« Douleur endurée, joie innée, cohabitez et vivez, embrasez vous de vos sens intègres et déchirez les obstacles qui se dresseront face à vous. »

Jeune candide au passé douloureux, tu vis en éloignant les souvenirs par ta seule force de caractère. Mais est-ce la meilleure situation existante ? Ne devrais-tu pas au contraire te remémorer chaque instants de ton passé afin de ne pas te laisser berner par la douce promesses de la facilité, qui entraînerait à coup sûr l'éternel recommencement de la lente descente aux enfers attirés par de vils pêchés? Mais tu ne résonnes pas ainsi, préférant oublier le passé et ses douleurs pour vivre au jour le jour et ne n'exister que pour le futur. Les erreurs sont humaines, et les tiennes ont prouvé que tu avais en toi l'humanité toute entière, reposant en ton sein. Mais tu en es consciente et c'est pour cette raison que jamais, Ô grand jamais, tu ne te laisseras les recommencer une fois encore. Car si les souvenirs se veulent être oubliés, ils flottent en toi tels des spectres, les spectres du passé te suivront éternellement, revenant aux moments les plus inattendus et indésirables, Ô candide à l'esprit si complexe bien que si simple en allure, créant l'illusion d'une candide commère que l'on peut facilement berner par mille mots doux. Car probablement as-tu l'air d'une putain, allant d'un bras à l'autre, suivant autant le sexe fort que le beau sexe. Mais la vérité est toute autre car toujours tu cherches l'amour. Tu n'y peux rien, ton romantisme, ton cœur d'artichaut et ton penchant pour les relations charnelles te donnent une réputation de traînée, même si tu es loin de ce monde de putains. Et pourtant, même si tu trouves la personne idéale, ton âme sœur, ton alter ego, tu te verras incapable de la moindre fidélité alors même que tu l'aimes. Tu es ainsi, agissant par impulsivité et incapable de rester trop longtemps avec une seule personne. Pourtant, si tu es persuadée qu'il s'agit de ton alter ego tu ne pourras pas rompre, non, tu ne voudras pas détruire ta relation avec cette personne que tu as toujours attendu.

« Ô joie, Ô rire cristallin, toujours vous êtes là, aidant à surmonter les difficiles épreuves »

La joie et l'optimisme sont tes compagnons de route, tes alters ego, toujours là pour vaincre la tristesse. Tu es la lumière dans les ténèbres, celle s'armant de courage pour vaincre, celle oubliant pour rassurer. Jamais tu ne te décourages et même blessée tu continues, détestant les douleurs qui font être faible. Tu hais les personnes se plaignant, ces personnes ressentant le besoin de se reposer sur les autres, ces faibles, ces lâches, ces parasites ressentant le besoin de puiser la résistance des personnes fortes, probablement car tu as été et que tu es une de ces personnes. Tu fais tout pour être courageuse et indépendante, n'étant soumise qu'à la force de l'amour. Toujours tu combats cette faiblesse vengeresse en toi qui tente de revenir, toujours plus forte et résistante. Un jour tu craqueras. Mais ce jour n'est pas encore arrivé. Combative, tu refuses de te voir vaincue. Tu sais te battre, que ce soit mentalement ou physiquement. Ce n'est certes pas ta passion mais tu sais placer tes armes là où il faut pour blesser.
Tu ressens un besoin de bouger, besoin satisfait par le breakdance, un passion que tu pratiques depuis longtemps déjà malgré une pause de plus d'un an il y a quelques années. Tu sautes, bouges et cela te satisfait, te permets de dépenser ce que ton métier ne te permets pas de dépenser. Ton moyen de locomotion est principalement le skate board, le roller et le métro, bien que tu évites le dernier. Tu n'aimes pas te concentrer et réfléchir, et c'est d'ailleurs pour cela que tu as toujours eu un problème avec les études. Tu es une bonne vivante et ne refuse jamais une invitation pour telle ou telle festivité. Tu as la phobie de l'orage et des clowns. Tu adores les animaux, même ceux que certains considéreraient d'ignobles. Tu es très possessive et si tu te permets de tromper ton amour, tu ne permettras jamais qu'il (ou elle) ne le fasse. Tu as en toi une certaines sensualité qui en fait craquer plus d'un(e). Tu peux autant être très directe et séductrice que timide et rougissante.
HISTOIRE : raconte-nous tout

MA VIE: LA DANSE





Tu es née dans les décombres d'une famille recomposée, au milieu de cette guerre des clans où les géniteurs étaient exclus et aveugles, refusant de voir se qui se déroulait sous leurs yeux bandés. Ils étaient ivres de bonheur, enfermés dans cette bulle rose qui jamais n'éclatait, comme des enfants enfermés dans un monde imaginaire, refusant de voir la cruelle réalité. C'est la torture des frères, les hurlements de l'ennemi, les moqueries sèches qui détruisaient vos âmes en morceaux. Chaque jour cette guerre infantile grandissait, on parlait de vous en tant que roturier, vous parliez d'eux d'enfants gâtés. C'était une guérilla sans sang, sans combats. Les mots étaient vos armes, l'humiliation votre plus grande alliée. Vous étiez de deux mondes différents, totalement incompatibles. Étaient-ils aisés, ces mesquins enfants ! Étiez vous de simples roturiers, ne fréquentant leur univers uniquement par cette illusion nommée amour.
Vous étiez trois, ils étaient quatre. Des regards métalliques, des paroles froides et offensante, un comportement blessant. Tout cela était votre quotidien. Tous blessés, tous affamés, vous étiez les victimes de cette guerre ainsi que ses créateurs. Vous vouliez l'arrêter mais par orgueil elle continua, toujours existante dans votre vie. Ces enfants et leur opulence tant étalée faisaient de leurs mieux pour vous rappeler votre rang social tandis que vous faisiez tout ce que vous pouviez pour leur montrer que vous étiez supérieurs à leur personne.
Mais toi, pauvre candide, jamais tu n'as supporté cette atmosphère lourde et pesante. Patriote tu combattais, fragile tu te blessais. Sûrement es-tu celle que cette guerre a le plus secouée, te laissant pantelante. Tu ne comprenais pas, cela n'étant pas ton caractère de haïr et de te faire haïr. Pourtant, tu as combattu, dans cette guerre où l'on hurlait à la vendetta. Constamment tu sortais, dans le but de te soustraire à ce décor accablant et douloureux. Tu respirais l'air de la ville, saturée de rancœur envers ta créatrice, celle même qui s'était amourachée de cet homme et qui t'avait forcée à rompre tout lien avec ta nation, ta patrie, ta forteresse, t'obligeant à rejoindre ce galant et ses trois enfants, tous garçons. Tu allais être la seule femme dans cette guerre dévastatrice. Sans cesse tu maudissais cette nouvelle vie, cette ville. Pourtant, tu trouvais ta lumière dans cet univers sombre, lumière que tu avais trouvée ici même. Ô suprême plaisir dans un univers de souffrance, Ô aimable trêve dans ton corps déchiré par les blessures. Sous les décombres tu as découverts quelques infinis plaisirs.
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Tu t'y es finalement habituée, à cette atmosphère lourde et triste. Probablement était-ce parce que tu n'étais plus souvent chez toi, laissant tes frères jouer entre eux à cette guerre qui te semblait dorénavant si risible et grotesque. Non, désormais tu ne t'y mêlais plus guère. Cela faisait dix ans que tu étais dans cette maison et cela faisait seulement trois ans que tu avais arrêté de trop t'y mêler. À quinze ans, il était temps! L'enfantillage de cette guérilla te semblait désormais évident, même si cela ne semblait guère frapper tes frères pour la plupart plus vieux que toi. Et pourtant tu n'étais pas la plus intelligente. Non, désormais, tu avais des passions autres que les batailles glacées, des passions et des amis qui avaient réchauffé ton cœur lentement congelé par cette maison froide, uniquement réchauffée par le nouveau né, zone neutre au milieu de cette guerre des clans.
Enfant tu te laissais entraîner, tu acceptais de combattre aux côtés de tes frères. Désormais, alors que tu comparais ton mode de vie à celui de tes camarades, tu comprenais que personne ne combattais ses demi-frères. Vous étiez une exception. Une stupide et futile exception. Et tu détestais désormais tous les membres de ta famille, que ce soit tes frères ou tes "ennemis", comme tu les nommais jadis. Tu les détestais pour avoir crée une atmosphère lourde et froide. Et tu détestais tes parents également, pour les avoir laissé laissé se créer cette ambiance. Tu avais revêtu une armure de froideur, que seuls tes amis et la danse pouvaient te dévêtir. En effet, dès ton plus jeune âge tu avais commencé la danse. Mais la danse classique ne procurait pas en toi les sensations à la fois douces et toniques que te procurait le break-danse. Cependant, les arabesques, les pointes et les grand écarts t'avaient préparée au monde merveilleux de la danse de rue. Sans cesse tu pratiquais, chaque jours tu sautais sur une musique hip-hop. Ta rencontre avec ce genre de danse était totalement fortuite, ta personne s'étant un jour perdue dans les bas-quartiers de Londres alors que tu déambulais, maudissant tes adversaires que tu combattais encore à cette époque. Simple tuerie à la recherche de jours nouveaux, d'une paix qui n'existerait que si les vulgaires belligérants du camps adverse s'avouaient vaincus et se soumettaient à votre plébéienne mais légitime souveraineté. Ne dis-t-on pas que les gens du peuple sont ceux gouvernant le mieux? Tu as vivement progressé, ce sport spectaculaire avec qui tu faisais adultère le noble sport qu'est la danse classique te passionnant. Durant plusieurs années, tu dansas, commençant à ne plus te rendre aux cours de danse classique pour retrouver tes compagnons de breakdance sans que tes parents ou tes frères ne s'en rendent compte, trop enfermés dans leur cocon ou jouant à la guerre qui jamais ne les lasserait.
Sautons quelques années pour arriver à tes dix sept ans. En plein échec scolaire, la guerre des clans terminée mais restant tout de même encore présente dans les esprits, tu passais la plupart de ton temps dehors, dansant et dansant encore. Tu avais arrêté la danse classique depuis longtemps déjà et ta famille connaissait l'existence de ta passion pour le breakdance, ta personne ayant gagné quelques trophées à des championnats officiels avec ton équipe. Tu étais plutôt heureuse, malgré tes notes en totale déchéance. Et un jour, toute ta vie fut détruite. Ton bonheur s'envola, ton sourire se débina, ta vie qui te semblait jusqu'ici si complaisante n'était désormais que futilités. La mort était tombée, brisant ta famille, brisant ton cœur. Ton grand-frère était désormais vidé de toute âme, sauvant de la mort un enfant qui se précipitait sous les roues d'une voiture à la recherche de son ballon. Ton grand-frère qui était ton mentor, tout père, ton ami, ton confident. Ton frère tant aimé, tant adoré avait disparu, emporté par les griffes de la faucheuse. Quand tu appris cela, tu ne rentras pas chez toi plusieurs jours durant, traînant dans la rue, dormant sous les ponts. Tu voulais oublier. Tu voulais tout oublier. Tu te mis à la drogue. La douleur des piqûres disparaissait rapidement, ton esprit emporté sous les flots troubles de l'extase illicite, flirtant avec les portes de la mort et de l'inconscience. On te retrouva quelques jours plus tard, des trous te parcourant les bras, les veines gonflées, le cerveau réduit en bouillies, l'esprit dans un monde parallèle aux reflets roses et aux rêves existants. Tu ne t'étais pas rendue compte de ton égoïsme à ce moment là, ta personne inquiétant ta famille alors qu'elle même pleurait la perte de ton frère. Ce n'est qu'avec le recul que tu t'en aperçus. Mais tu étais perdue dans ta douleur égoïste. À chaque fois que tu fermais les yeux tu pleurais, noyant tes rêves de chagrin et de désespoir. Cela dura un an. Ta famille dut faire son deuil rapidement afin de s'occuper de toi, de te ramasser sur les trottoirs, de t'empêcher de te prostituer afin d'avoir l'argent nécessaire pour t'acheter ton héroïne quand ils te coupaient les vivres. Durant toute cette période, tu arrêtais le breakdance. Tu n'étais, de toute manière, plus capable de rien. On finit par t'envoyer en cure de désintoxication, te faisant la promesse que tu pourrais ensuite de nouveau danser. Tu t'étais souvenue de ces jours heureux et avait accepté, espérant. Et ça marcha. Cette cure te changea. Tu étais plus optimiste qu'avant, plus heureuse. Après un an et six mois de cure et sans aucune rechute, tu étais de nouveau saine et heureuse. Mais on te soutenait durant cette cure. Tes anciens amis de danse te rendaient visite, ta famille et...ton défunt frère. En effet, tu avais régulièrement des visites de son fantôme, bien que sûrement des illusions, qui t'aidaient à tenir, qui te persuadait de ne pas replonger dans les moments les plus difficiles. Tu traînais toujours en ton cœur une faille qui ne serait comblée qu'après de nombreuses années et avec beaucoup d'amour, mais tu allais mieux qu'avant en tout cas. La reprise de la danse fut dure, tes muscles réduits en bouillis furent difficile à reconstruire. L'échec fut très amer pour toi et tu mettais toute ta force dedans. Tu réussi à retrouver ta force et ta dextérité d’antan, retrouvant par la même occasion la joie de vivre qui l'accompagnait. Et puis la lettre est arrivée, te surprenant. N'arrivait-elle pas plusieurs années en retard? Ou peut-être ne voulaient-ils pas de drogués? Tu ne savais pas. Mais tu appréciais l'idée. Tu ne voulais pas rester chez tes parents, tu avais honte d'avoir ainsi profité d'eux. Tu y es allée. Et ce fut le début d'une nouvelle vie, entre En-Haut et En-Bas.


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Rhadamanthe
Rhadamanthe

PSEUDO : Polys.
MESSAGES : 162
JOB : Roi d'En-Bas.

Alyse ✞ La danse est une poésie muette Empty
MessageSujet: Re: Alyse ✞ La danse est une poésie muette   Alyse ✞ La danse est une poésie muette EmptyMar 14 Mai - 10:30
Bienvenue Alyse ! Ta blondinette est impeccable, son histoire aussi. Elle a complètement sa place ici, alors je te valide illico-presto ! Amuse-toi bien. coeur
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Alyse ✞ La danse est une poésie muette
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